La Fondation littéraire Fleur de Lys se classe au deuxième rang des plateformes d’autoédition québécoises les plus connues par les écrivains québécois avec 17% des 309 mentions selon un sondage réalisé dans le cadre de l’étude «Les plateformes numériques d’autoédition : état des lieux» réalisée par Émilie Paquin pour l’Union des Écrivaines et des Écrivains québécois (UNEQ).
Dans l’ensemble des mentions pour toutes les plateformes d’autoédition, québécoises et étrangères, la Fondation littéraire Fleur de Lys se classe au quatrième rang sur les 19 choix de réponses proposés au 309 participants (membres de l’UNEQ) au sondage.
Autre point intéressant pour nous, la Fondation littéraire Fleur de Lys est mentionnée comme l’une des pionnières dans le secteur des plateformes d’autoédition.
Voici la fiche descriptive consacrée à la Fondation littéraire Fleur de Lys en annexe de cette étude :
Dans la «Présentation générale», nous devrions lire «maison d’édition ET LIBRAIRIE en ligne».
Dans le «Modèle d’affaires et conditions commerciales», le lien web proposé devrait être celui de la page d’accueil de notre site web :
https://editionfondationlitterairefleurdelys.wordpress.com/
et non pas celui qui renvoie à l’offre «Déjà édité ? Annoncez votre livre dans notre librairie en ligne».
Dans la même section, au sous-titre «Redevances», nous devrions lire que ces redevances varie selon le contrat d’édition :
Il nous faut aussi attirer votre attention sur la définition donnée à l’édition à compte d’auteur et celle de l’autoédition dans cette étude :
ÉDITION À COMPTE D’AUTEUR : Modèle d’édition hybride en vertu duquel les coûts de production et, dans certains cas, de diffusion sont plus ou moins partagés entre l’auteur et une entreprise de services d’édition. Ce partage des coûts peut également prendre la forme d’un achat d’une partie du tirage par l’auteur.
AUTOÉDITION : Modèle d’édition en vertu duquel tous les coûts de production et, éventuellement, de diffusion sont assumés par l’auteur.
La Fondation littéraire Fleur de Lys est d’avis que ces deux définitions ne sont exactes.
L’autoédition implique un ensemble de fournisseurs retenus par l’auteur pour la réalisation, l’impression, la distribution, la commercialisation et la vente de son livre. Par exemple, l’auteur retiendra les services d’un correcteur, d’un réviseur, d’un graphiste pour la conception des couvertures de son livres, un expert en mise en page, un imprimeur… Il est exact de mentionner que tous les coûts sont assumés par l’auteur.
L’édition à compte d’auteur implique un seul fournisseur offrant tous les services, de la réalisation du livre à sa vente. Il n’est pas exact de dire que les couts «sont plus ou moins partagés entre l’auteur et une entreprise de services d’édition». Dans le cas de l’autoédition et de l’édition à compte d’auteur tous les coûts sont assumés par l’auteur.
Lorsqu’il y a un partage des coûts entre l’auteur et son prestataire de services, on doit parler d’édition participative. C’est le cas de la Fondation littéraire Fleur de Lys. La contribution financière demandée à l’auteur ne couvre pas l’ensemble des coûts. La Fondation assume tous les autres coûts. La Fondation littéraire Fleur de Lys n’offre pas un service d’autoédition puisqu’elle assume une partie des coûts.
Il est nécessaire de souligner que les définition des différents types d’édition varient passablement d’une étude à l’autre, d’un prestataire de services à l’autre, d’un pays à l’autre…
* * *
Téléchargement de l’étude (PDF)
Cliquez ici ou ici
* * *
À LIRE AUSSI
L’UNEQ dévoile une étude comparative sur l’autoédition numérique
—
Laisser un commentaire