Un billet intéressant au sujet des dangers de l’auto-publication en France. Il est important de noter le contexte français dans ce texte. Par exemple, les références aux lois françaises ne s’appliquent pas au Québec. En dehors de ce cadre légal, le billet offre des conseils intéressants aux auteurs de tous les horizons tentés par l’auto-publication.
Des dangers de l’auto-publication
mar 13, 2014 ~ 1 Commentaire ~ Par TheSFReader
Préambule
Je ne suis pas juriste, ne le serais jamais, et tout ce que je connais du droit, je l’ai appris chez Maitre Eolas et Groklaw. Cette culture juridique je l’ai longuement approfondie devant « Les Experts » et « Avocats et Associés », ce qui je n’en doute pas a amélioré la pertinence de mon avis. Ceci n’est pas un conseil légal, mais juste mon avis de « spectateur » de l’édition « numérique ».
Introduction
Si vous suivez mes billets (ou mon compte twitter) vous savez que je suis un fervent défenseur des auteurs, et de l’auto-publication. Pour rappel, l’auto-publication c’est quand un auteur endosse aussi les responsabilités de « publieur », c’est à dire qu’il gère (ou sous-traite) lui même les tâches de correction, édition, relectures, graphiques (couverture), « impression » (numérique ou papier), diffusion, marketing etc. A ce titre, il se doit d’être, on peut le dire, un professionnel de l’édition.
J’attire votre attention sur deux notions des phrases précédentes : le professionnalisme et la sous-traitance car ensemble ils forment le sujet du jour.
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